Transgénérationnel
En 2022 j’ai décidé d’aller à la rencontre de mes ancêtres, en me formant au transgénérationnel. Une approche qui m’a fasciné, j’ai découvert un tas de choses et soulevé pas mal de questions également dans mon propre arbre. Je trouve cela captivant que grâce à l’étude du génosociogramme, nous pouvons guérir les branches pour soulager notre arbre. C’est début 2023 j’ai obtenu mon diplôme de praticienne en psychogénéalogie. Le début d’une belle aventure, j’ai bien envie d’approfondir mes connaissances dans la vaste branche qu’est le transgénérationnel.
Un peu d’histoire
Cette pratique de psychogénéalogie a été développée dans les années 70 par Anne Ancelin Schützenberger. Elle a démontré que les événements, les traumatismes, les secrets de famille et les conflits vécus par nos aïeux conditionnent nos faiblesses constitutionnelles, pouvant créer des troubles psychologiques, des maladies, voire des comportements étranges ou inexplicables.
Connaître ses racines et l’histoire de sa famille permet de nous construire. La psychogénéalogie nous invite à analyser notre histoire familiale et à identifier les secrets, les épreuves et les traumatismes potentiels afin de comprendre comment le passé peut éclairer les troubles du présent. Aujourd’hui je suis en capacité de travailler avec toi pour libérer ton arbre.
Comment se déroule une séance de psychogénéalogie ?
La plupart du temps, quand on vient me consulter, mon client arrive avec un questionnement précis, une difficulté qui le concerne dans son quotidien : difficulté à faire couple, difficultés sociales ou professionnelles récurrentes…
Je centre mon travail sur ce questionnement, la quête personnelle dans l’ici et le maintenant. Après une anamnèse, j’utilise des médias comme le dessin, la mise en scène de figurines, les cartes graphiques, la mise en mouvement du corps… pour aider mon consultant à proposer une première représentation de sa famille.
Assez vite, nous élaborons ensemble un génosociogramme qui se fait l’instantané de l’inconscient familial porté par l’individu, d’un certain déterminisme. Celui-ci se fait de mémoire, en échangeant avec moi et dans un premier temps sur quatre générations, c’est à dire jusqu’aux arrière-grands-parents.
L’étude du génosociogramme sert à remonter dans l’histoire familiale, tisser des liens entre l’avant et l’aujourd’hui et ainsi mieux comprendre l’origine de ta souffrance.
Tout dépend de vous, les séances sont régulières toutes les 6 semaines et durent généralement 1h30. Une dizaine de séances permettent de faire le point sur la première problématique. Elle peuvent être accompagnée de soin énergétique